Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

07/02/2013

Knowledge economy

http://youtu.be/x8mLM-WGJss 


Despite some criticism brought to materials written on Emotional Intelligence, the popularity and support this subject has had among business management in the United States and other parts of the world during the past 15 years proves it can successfully be applied in the workplace.


Through training sessions offered by CEFRO during the past years, I have engaged European participants sponsored by the Grundtvig program in courses designed to encourage developing Emotional Intelligence in the workplace.

 

These very well received courses gave me the opportunity to look deeper and reflect upon the principles guiding, inspiring and driving our actions as well as the path we choose for our lives and our careers. I found it interesting to look at this subject from an ethical perspective, the only one capable of bringing long-term solutions.

 

At a time when “life-coaching” has proved to be limited in forming personalities, I believe the quality of goals and actions is capable of justifying and bringing happiness to a positive existence. In a recent discussion, a friend argued she did not know anyone around her who makes happiness a goal to strive for, and there surely would be other values one would seek in their lives. Certainly, religion and psychoanalysis approaches are different from philosophy; however it is the latter which can truly provide tools for an independent thought process. 

 

Therefore, I updated my Lifelong Learning project to include the idea of training in Emotional Intelligence from a philosophical and positive psychology perspective (see description in “Liste Cefro” on the right column -CEFRO Professional Services).


Parmi les critiques qui sont faites (surtout par des non-Américains) aux ouvrages traitant de l'Intelligence Emotionnelle, on retrouve celles-ci: des relations sociales dé-contextualisées, dépolitisées, sans aucune vie psychique, déculturées, ou encore, dénuées d'éthique. Néanmoins, la grande popularité que connaît cette notion au cours des quinze dernières années dans le domaine de la gestion en Amérique du Nord et par voie d'influence, dans d'autres parties du monde, prouve que le management est sensible à des réponses pratiques.
 
Avec CEFRO, au cours de plusieurs sessions, j'ai proposé et fourni aux participants européens détenteurs d'une bourse Grundtvig un cours sur le développement des compétences émotionnelles dans le monde du travail. Ce cours, qui a été très bien reçu, m'a donné l'occasion d'approfondir une réflexion sur les principes qui orientent, inspirent et animent nos actions, sur le sens que nous conférons à notre vie et/ou à notre travail. J'ai trouvé qu'il serait intéressant de reprendre le sujet dans une perspective éthique, la seule capable, à mes yeux, d'apporter des réponses viables et à long terme. A une époque où le coaching prouve ses limites dans le formatage des personnalités, je suis persuadée que la qualité des buts et des actions reste capable de justifier l'existence, en lui conférant aussi bien les raisons d'être, que le plaisir de vivre affirmativement. 
 
Mais, il n'y a pas que cela. Dans une récente discussion amicale, je me suis vue opposer un argument étonnant. Mon interlocutrice a remarqué qu'elle ne connaissait personne autour d'elle pour qui le bonheur représentait une valeur à rechercher, et qu'il existait d'autres valeurs sur lesquelles on pouvait bâtir sa vie. Certes, le discours religieux et le discours psychanalytique sont différents du discours philosophique, mais c'est ce dernier qui peut offrir véritablement des outils à manier de manière indépendante. 
 Alors, j'ai actualisé mon projet de Lifelong Learning, en y rajoutant la possibilité d'une formation en compétences émotionnelles à la lumière de la philosophie et de la psychologie positive (résumé dans la Liste Cefro, colonne de droite).
 

15/01/2013

Lettres

Update 16. Choses plus graves que le sacré à travers le langage poétique: mauvaises nouvelles pour le géant UPS, l'UE n'a pas donné son accord. Il se trouve que cela m'affecte, puisque un projet personnel commun avait pris forme, et tenait à un fil, mais il tenait.. Je me fais violence pour ne pas penser à d'autres "petits" aspects politiques, économiques, sociaux, qui  vous font déchanter. Ce serait fatal pour le moral. En plus, en ce moment, ce serait aussi me couper l'unique branche sur laquelle je suis assise en équilibre précaire (comme tant d'autres..). Par exemple, hier, on m'a demandé, dans la rue, l'adresse du Pôle Emploi - un très jeune garçon, frêle, habillé soigneusement comme pour aller à un entretien d'embauche, il tournait en rond dans le centre ville, sans découvrir que sur trois agences il en restait une seule, assez loin..Je lui ai souhaité bon courage, et son visage s'était éclairé, comme si je lui avais proposé un emploi.. Et j'ai senti les larmes me monter aux yeux, car il était au début de sa vie professionnelle, et je suppose qu'il avait beaucoup d'espoir, avant de faire connaissance avec l'engrenage broyeur..

http://www.leparisien.fr/flash-actualite-economie/anticip... 

 

HPIM3182.JPGIl y a quelques années, j'ai apporté de ma bibliothèque de Roumanie, pour ma (plus) petite bibliothèque de Nice, ce recueil de poésies de Mihai Eminescu, Editions de la Jeunesse, collection "Bibliothèque de l'Ecolier", Bucarest, 1967. Chaque 15 Janvier, je le prends sur l'étagère, et je le place sur mon bureau. Je relis surtout Luceafarul, et bien que je connaisse le poème  par coeur (depuis toujours..), c'est toujours l'émotion, comme si  je l'entendais pour la première fois. Et je me rappelle que la poésie, c'est de l'ordre du langage sacré, et que probablement, le sacré "est capable de se communiquer", en tant que "bien véritable", comme écrit le philosophe qui s'était résolu de le chercher (heureusement qu'il a été excommunié, sinon il ne l'aurait pas trouvé...).

Ce matin, je passais devant une librairie qui exposait des ouvrages de l'artiste Tobiasse, et j'ai aimé ceci: "seule la mémoire donne une existence à l'image et aux mots qui forment la conscience du moment présent que nous vivons"

 http://youtu.be/PutB0_FSvok

 
 

10/01/2013

Double happiness teacup

Happy Birthday, sweet Rowen Valentina! Six years old! La Multi Ani!

 Bon Anniversaire, CEFRO! Cinq ans, quand même!

Cette tasse décorée de l'idéogramme "double joie" (de chez Nature & Découvertes), pour mon thé vert de l'après-midi.

Choix musical: http://youtu.be/arxIufXJt7g

015.jpg

03/01/2013

Début d'année 2013

Pour cette nouvelle année, voici mon souhait:  ne pas perdre complètement confiance en l'Homme, malgré tout. Je m'aperçois que je cours ce risque (je ne dois pas être la seule). Alors, pour essayer de commencer courageusement 2013, j'ai posté sur le photoblog deux-trois images rassurantes (http://myshots.hautetfort.com). Ensuite, je vais répondre à une proposition reçue par email, et qui a l'air correcte (le site est intéressant, mais j'ai appris que cela pouvait être trompeur) : "how do you envision this partnership?", ou plus direct, "how can we make money together?", parce que moi...

Le 10 Janvier prochain, CEFRO aura 5 ans d'existence (!). C'est, sans doute, quelque chose que d'avoir pu la maintenir en vie, avec une activité de fournisseur de cours pour le programme Grundtvig (programme Lifelong Learning qui s'arrêtera en 2014). Je n'ai pas proposé un autre cours, j'ai enregistré de nouveau celui sur les compétences émotionnelles (il me plaît, et les participants l'apprécient), avec un matériel mis à jour. L'idée d'un cours nouveau ayant trait à l'interculturalité, je l'ai abandonnée quand je m'étais rendu compte,  tout simplement, que le sujet était plutôt délicat à traiter, et qu'il me demandait un détachement personnel dont je ne me sentais pas capable..A moins que je ne change de statut, de quartier, de standing, et que je devienne parlementaire, ou autre responsable politique, pour vivre différemment l'interculturalité, dans la parole, et non dans la chair. En tout cas, en tant qu'entreprise, je dois me diversifier pour survivre. Seulement, mes recherches ne donnent rien, et je ne vois pas ce que je pourrai sortir sur le marché.. La seule solution viable est de travailler avec un autre organisme, en partenariat. C'est peut-être 2013 qui me trouvera le bon (d'où mon souhait..).