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08/08/2016

Les fanatiques du politiquement correct

facebook_1470669449475.jpg(Mes photos -la Prom', Nice)

Plus loin, une version quasi intégrale de l'article Fanaticii corectitudinii politice :

"La campagne meurtrière de l’islamisme est sans conséquences pour la citadelle de la Gauche. Malgré le fait que les grands combattants du Coran commettent des atrocités au quotidien et annoncent, dans des enregistrements envoyés aux télévisions, ou publiés sur Internet, qu’ils sont en guerre contre l’Occident et les infidèles du monde entier, une catégorie spéciale de citoyens continue à minimiser la menace de l’islam. Fortement infiltrés dans les médias et dans le milieu universitaire, considérablement influents dans le monde politique, les adeptes du politiquement correct refusent d’accepter la réalité du conflit irréconciliable entre l’Oumma et le reste de la planète. Préoccupés d'avoir le contrôle sur le discours public, ils avancent des explications toujours plus sophistiquées du nombre incalculable de massacres commis par les djihadistes.

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01/10/2015

Points de vue

migrants, idéologie, Europe de l'Est, multiculturalisme, communisme, neo marxisme, presse, Europe de l'est, nouvelle Europe, politiquement correct, islam, intégration

(Mes photos -Septembre)

 

Alors que je commençais à désespérer devant le matraquage quotidien pro-migrants, poussé à cette une de Libération  « Hongrie, la honte de l’Europe », j'entends un son plutôt rare. Sur France Culture, "Quel est  l’avenir de Schengen face au défi de la crise…"  (un entretien repris sur www.hu-lala.org), Monsieur H.Védrine, l’ancien ministre français des Affaires étrangères du gouvernement Jospin de 1997 à 2002 s’est refusé à critiquer l’action du gouvernement hongrois dans la crise des migrants : « Les sociétés d’Europe de l’ouest sont favorables aux sociétés multiculturelles, ou s’y sont adaptées, ou s’y sont résignées, appelons-ça comme on veut. En Europe de l’Est pas du tout. Ils pensent que les sociétés multiculturelles sont un échec flagrant, spectaculaire, ils n’en veulent pas. Donc ils ne veulent pas, sous couvert de la nécessité de donner l’asile à des gens vraiment persécutés, entrer dans cet engrenage. Ce n’est pas de la xénophobie dans le sens où ils sont contre un groupe ethnique en particulier, ils ne veulent pas de l’évolution multiculturelle. Il ne faut pas s’en prendre qu’à la Hongrie. Il y a six, sept ou huit pays qui pensent comme ça. Il ne faut pas avoir peur d’en parler ».

 

L’idéologie du multiculturalisme, avec d’autres nouvelles constructions qui contestent l’ordre social et économique du monde et qui ont pris la place des idéologies du siècle dernier, est l’un des visages du communisme protéiforme, ou du néo marxisme, avec lequel elle a bien des choses en commun: la distorsion du raisonnement, l’égalitarisme, l’humanitarisme, le nivellement des valeurs, la pensée unique forcément correcte. La crise des migrants en est un révélateur. J’ai adapté plus loin des extraits d'articles lus sur le site roumain In Linie Dreapta. 

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17/06/2015

Liberté d'expression (for nothing)

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(Photo: En taxi, à Bucarest)

Note modifiée le 26 juillet, après mon retour de vacances, au niveau du format, car elle occupait trop d'espace. Quant au contenu, je n'ai pas l'habitude de changer ce qui a été enregistré à un certain moment, comme le fruit d'une réflexion ou d'une émotion, même s'il arrive parfois que la relecture me procure un autre sentiment..Non de désaccord, mais de lassitude, c'est-à-dire à quoi bon? 

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08/04/2015

Amusant...?

anti corruption,prison,ouvrages scientifiques,roumanie,presse

(Mes photos: mimosa derrière la grille)

 

Pour qu'une nation compte, il faut que la moyenne en soit bonne. Ce qu'on appelle "civilisation" ou simplement "société" n'est rien d'autre que la qualité excellente des médiocres qui la composent -écrivait Cioran. Nous pouvons faire un jeu-test, en calquant cette observation corrosive sur la civilisation de notre choix: ça fonctionne. 

 

Ces derniers mois, une effervescente activité de la direction nationale anti corruption (DNA) a conduit à l'incarcération en chaîne d'un bon nombre de politiques et d'hommes d'affaires roumains. Chaque jour, une nouvelle victime fait les titres de la presse, on a presque du mal à suivre. Les révélations et les témoignages se bousculent et se chassent, la justice est décriée ou défendue, c'est selon..Avec un minimum de logique, on peut s'interroger sur ce qui a poussé tout d'un coup cette justice à (ré)agir, lorsque pendant des années, elle laissait des affaires fleurir et des personnages malhonnêtes grossir impunément. Eh bien, il semble qu'elle ait décidé de "voir" et d'appliquer la loi...Tiens.. Nous sommes libres d'être lucides et de chercher l'explication quelque part à l'extérieur..

Bon, finalement, ce serait le résultat qui compte. Mais, lorsqu'un processus est plutôt artificiel et démonstratif, il présente souvent des cacophonies, des aberrations, des aspects surréalistes.

Par exemple, conformément à une loi de 2006, un détenu peut voir sa peine de prison réduite s'il écrit en détention un ouvrage scientifique (et non un roman d'amour, un thriller, un recueil de poèmes). Dans d'autres pays, il n'est pas inhabituel qu'un détenu rédige un témoignage, et qu'il le fasse publier à la sortie pour dire sa vérité.. On sait bien qu'il est également possible de poursuivre des études ou une formation en prison. L'originalité de la législation roumaine consiste à exiger un contenu scientifique. Et cela donne ceci: un personnage publique, homme d'affaires semi-illettré de son état, prend quelques années de prison (la justice s'est décidée..). Il écrit 5 (cinq) ouvrages scientifiques, et sa peine est réduite de 200 jours. On découvre qu'il s'agit du plagiat d'une thèse publiée il y a dix ans sous la direction d'un professeur universitaire, à présent retraité. Par ailleurs, les livres scientifiques de l'ex-détenu sont introuvables, ils n'existent pas physiquement, ce qui compte c'est la mention "Bon pour impression". Pour avoir le droit d'écrire un ouvrage scientifique, le détenu doit joindre au dossier qu'il soumet à la direction de la prison la recommandation d'un professeur universitaire qui garantit qu'il est capable de mener une recherche sur le sujet. Donc, cela s'est fait dans les règles (car pour ce qui est de la forme, on sait faire..). Bien évidemment, le pénitencier n'a pas les compétences légales pour se prononcer sur le caractère scientifique des ouvrages élaborés par les détenus, et il renvoie donc au Conseil national pour la Recherche dans l'enseignement supérieur, lequel Conseil renvoie aux maisons d'éditions, les seules habilitées par leurs référents et experts...(Voir l'article ici).