15/03/2017
Relecture
( Mes photos- Paris au mois de mars ) Il m’arrive, plutôt rarement, d’être d’humeur Cioran . Quand je suis venue à Nice à l'Université d'été, en 1990, j'ai emporté dans mes bagages Sur les cimes du désespoir . Bien entendu , je ne l'ai pas ouvert, j'avais tout le temps à mon retour.. En octobre 2005 j’ai trouvé Ebauches de vertige chez Virgin , et, comme toujours lorsque je m’offre un livre, j’ai noté sur la page de garde quelques mots disant qu'il n'était pas recommandé de fréquenter assidûment l'auteur, car gris foncé, presque noir, même si parfois cela pouvait...